La Croisade Ecarlate - Nostalgeek
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GRommbrindal, Maitre nain.

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GRommbrindal, Maitre nain. Empty GRommbrindal, Maitre nain.

Message  Dravevesti Ven 23 Juil - 22:54

***
Ci joint la copie brouillon de mon histoire RP que j'ai inventé. ya des fautes, tout plein tout plein, j'ai pas relu, ya des trucs mal dit, pour la mm raison.

Merci de ne pas me voler mon histoire. C'est la première fois qu'elle sort du cercle des amies strict.

je suis ouvert a tte question surtout concernant l'incompréhension: dite moi si c mal dit, ou quoi, je modifierais.


Il y a 4 chapitres pour le moment, dont le 4eme en cours.

***





Dernière édition par dravevesti le Sam 24 Juil - 1:53, édité 1 fois
Dravevesti
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Message  Dravevesti Ven 23 Juil - 22:57

Dans ces temps troublés, au milieu des guerres incessante, sanglante et lourde en perte, résiste l’Empire protégé par ce de nombreuse civilisation de ce vieux monde.
Nains, Humains, Elfes constitue les meilleurs défenses de ces terres nourries à ses frontières, depuis des centaines d’années, d’une eau désormais rouge vif tant le sang coule.
Au bord de ces terres, s’étend les régions des nains, riches et fertiles, ardemment désirées par ses voisins. De son trône, Magnus LePuissant protège son peuple depuis de nombreuses décennies.
Son peuple n’est pas pour autant en sureté.
Des régions hostiles à l’Empire force les frontières une fois de plus. Tandis que les femmes de l’empire souffrent du manque de leurs hommes au foyer, le roi lance l’appel aux armes le plus grand depuis l’histoire de l’Empire, tant le danger menace ses frontières.
Parmi les courageux guerriers de son peuple, cet empire cherche ses héros…


«Un nain raconte la mort de ses proches. Ce guerrier, c'est moi, et cette histoire est la mienne. Cette histoire ne parle d'un nain, qui quitte sa capitale avec deux compagnons de route et les voit massacré. Non. Ni même celle d'un riche nain partant en quête de gloire entouré de milliers de nains, mercenaire et homme de rang, combattre troll et peau verte pour défendre ses terres ancestral et trouver la gloire ;non, il s'agit juste de mon souvenir de guerre.. Souvenir, car toute ma vie, vie de guerrier, ne tourne qu’autour de cette aventure retraçant l'ensemble de mon existence.
Vous, à qui je comte mon histoire, préparez vous à entendre parmi le pire: la mort, la peur, la tristesse, la colère et la haine, haine qui vous soulèvera contre les peaux vertes et ces autres créatures immonde qui souille les terres des nains, mes terres, vos terres et celle de vos fils. »
Au nouveau Karanos, en 2513




I

(Longwood, Hiver, année 2013, 4 ans après l’appel aux armes)
L’hiver était particulièrement rude cette année, mais sa hache taillé les troncs des arbres avec une facilitée peu commune. La lame était si bien affutée que personne n’aurait osé douter de son tranchant. Grommbrindal devait rentrer avant que la nuit ne tombe, ou il risquait de se retrouver confronté au froid intense, et il n’aurait que peu de chance de s’en sortir vêtu aussi légèrement qu’il ne l’était. Heureusement couper activement ces arbres lui tenait chaud. Il était jeune nain, à peine cinquante années derrière lui, mais il était fort et robuste pour son âge. Il la tenait de son père, un nain très robuste, à la carrure impressionnante pour un prêtre de Valaya et Grungni. Un père qui n’est plus aux foyers depuis plus de quatre longues années, parti aux frontières repousser les armées du chaos, de démon, mutant mais surtout des peaux vertes, qui menaçait directement les contrées naines. Rapidement, ses deux frères, Grogrim et Barltok furent appelé au renfort des frontières, enrôlé dans la section de leur père, le Sergent-chef Allio, et sous les ordres de leurs pères ; ils ont rapidement fait parler d’eux de par leurs actes héroïques sur les frontières de leurs vieilles terres ancestrales. Durant tout ce temps où le trio faisait carnage aux peaux vertes sur de nombreuses opérations plus périlleuses les unes que les autres, s’enrôlant dans missions suicides, commando en plus de toutes les bataille rangées de quelque milliers de nain contre plusieurs milliers de d’orcs et leurs sbires, durant tout ce temps Grommbrindal veillé sur sa mère Cellin, plus si jeune maintenant, seul au foyer, à nettoyer des chambres vides de chaleur naine et à préparer des repas pour moins de la moitié du nombre de personne qui vivait ici il y a encore quelque années .Si la vie manque dans cette maison, les salaires de trois guerriers remplissent les coffres de cette maison et permettait à Grommbrindal et sa mère de vivre dans de bonne conditions. Si Grommbrindal n’a pu s’engager, c’est uniquement par son jeune âge, d’après les longues barbes chargé du recrutement, qui l’ont qualifié de barbichette…
Au couché du soleil, et comme tout les jours, Grommbrindal rentait, la hache à simple tranchant lourdement posé sur l’épaule ; elle lui avait été offerte par son père avant qu’il ne part en guerre, et était un héritage de famille depuis de nombreuse génération, transmise de père en fils. Grommbrindal la porté fièrement. Il avait ramené d’un bras un demi-stère de gros bois, ficelé de façon très minutieuse, afin de ne pas perdre un seul morceau de son dur labeur.
A peine rentré, sa Cellin posa la marmite sur la table.
- A table, dit-elle simplement.
- J’arrive mère, lui répondit-il en déposant ca hache dans l’entrée, j’entrepose le bois dehors et j’arrive.
- Tu prendras le temps de te laver avant, aussi, tu empestes la sueur, dit Cellin avec un rictus de déplaisemment au visage.
- Toi aussi tu trouves mon eau de Cologne trop forte et de mauvais gout ? dit Grommbrindal avec un large sourire, content d’avoir dit une blague plus grosse que lui. Cellin ria elle aussi, tout en continuant à préparer la table.
La maison, construite a même la roche, était de taille modeste mais bien assez grande pour deux personnes. Elle avait était construite par Allio et Grogrim, son premier fils, construite en seulement six ans, mais en perpétuelle extension. Elle se constitué déjà d’un hall très rustique directement suivit de la salle a mangé avec la cuisine et la réserve au fond de la pièce dans un renfoncement. La salle à mangé donnait sur un couloir qui dégagé quatre pièces dont trois chambre et une réserve d’arme à moitié vide. Grommbrindal savait qu’il y avait une cachette d’or dans la maison, mais il n’a jamais réussi à découvrir où. L’art des nains à dissimuler des pièces secrètes est une technique qui dépasse la compréhension humaines, et parfois même celle de certain nain non expérimenté, ce qui était le cas de Grommbrindal. L’étage était encore en expansion lorsqu’Allio est parti, ce qui ne laissait qu’une pièce pour l’hygiène fraichement fini, et la place pour construire de nombreuses pièces encore.
Une fois le bois déposé hors, Grommbrindal parti se décrasser rapidement puis revient a table pour déguster le repas de sa mère, et savourer une bonne bière Burgman X.




II

(Longwood, Printemps, année 2017, 8 ans après l’appel aux armes)
L’hiver dernier n’avait pas était fort long, et assez doux pour un nain. L’année avait été bonne pour la scierie où travaillait Grommbrindal, qui avait fait de bon profil. La colonie humaine qui habitait c’était installé à proximité y était pour beaucoup ; les humains sont très demandeur du savoir faire nain, qui excelle dans de nombreux domaine, pour ne pas dire tous, ceux des humains. L’effort que Grommbrindal avait fournit dans cette entreprise lui avait valut une belle bourse d’or, ce qui lui permit de s’acheter des livres très renommé chez les nains sur l’architecture de leur race, les derniers rapports d’invention des ingénieurs de la guilde de Forgerune et quelque autres livres de divertissement sur les contrées de l’Empire au delà des frontières naines. Cependant Grommbrindal n’était pas joyeux. Les nouvelles du front se faisaient rares parmi les familles, et n’étaient généralement pas bonne. La dernier lettre que reçu Cellin et Grommbrindal fut celle de Allio, qui faisait absolument tout pour obtenir une permission pour lui ou à défaut ses fils. Mais la guerre ne s’arrête pas, et les permissions se font rares. Mais la bravoure du trio ne passait pas inaperçu et Allio, de par ses connaissances, avait réussi à négocier avec ses supérieurs pour la permission de Barltok, après la prochaine de leurs escarmouche. Toutes les lettres étaient soigneusement rangées par Cellin, qui depuis le départ de ses deux fils ne vivait que pour lire la suivante. Grommbrindal ne l’avait qu’à peine remarqué, tant il était investi dans son travail. Demain serait d’ailleurs une bonne journée, et très attendu : Barltok rentrait pour sa permission d’un cycle de lune complet !
La taille du bois était à peine plus difficile que de couper le beurre tartiné sur son pain noir. Pour l’occasion il avait acheté ce matin une barrique de Bugman XXX, qui lui avait couté toutes ses dernières économies de ces deux derniers mois, et en avait prit une grande chope avant de partir couper son bois matinal. Ce doit être l’effet de cette délicieuse bière qui me rend si jovial ce matin, ce dit Grommbrindal, ou peut être le fait de revoir mon frère ce soir ! Il s’arrêta, hache chargé en l’air, prête à tomber donner le coup de grâce à ce tronc aussi gros que son tour de ventre, se délectant à la simple pensée de retrouver son frère au soir, au foyer et près du feu à l’écouter attentivement raconter ses récits épiques. Peu être la moitié ne sera que pur création pour embellir les fait réel, ce dit Grommbrindal, mais il s’en fichait, il n’avait qu’une envie c’est de le revoir, l’entendre de nouveau lui parler, se rassasier de sa présence, rire avec lui jusqu'à l’aurore, et bien sûr prendre des nouvelles de son frère ainé et son tendre père, qui lui a tant donné. Reprenant ses esprits, il fendit l’air avec sa hache et abattu le demi-tronc d’un seul coup. L’arbre perdit rapidement de l’équilibre et tomba de façon incontrôlée sur sa pile de bois, faisant voler un partout le bois coupé il y a quelque heures. Grommbrindal ferma les yeux avec une grimace, s’attendant au pire. Il rouvrit les yeux et admira son travail : des buches de gros bois étalé partout autour, et un tronc d’arbre arraché au milieu, totalement inutilisable a l’atelier… Soufflant et résigné à l’évidence, il pensa simplement a sa paye de se mois ci qui ne serait pas bien grande, d’autant que son congé qu’il avait prit pour voir son frère n’allait… Il se rendit soudain compte qu’il avait oublié de le dire a son supérieur ! Grommbrindal lâcha tout et courra vite le lui dire avant qu’il ne parte livrer les menuiseries aux humains de la cote, tout se rappelant qu’il ne devait pas oublier, malgré tout, son héritage de famille…




III
Comme chaque soir, Grommbrindal entreposait ses rondins de bois dehors, mais ce jour il n’était pas très attentif à son travail : il scrutait l’horizon. Appuyé d’un coude sur sa hache, il protégeait de l’autre ses yeux du soleil, pour mieux percevoir un petit point noir, qui pourrait être son frère. Il avait déjà préparé sa Burgman XXX, avec trois belles chopes. Le crépuscule se couchait, lorsque, au loin, Grommbrindal aperçu ce qui ressemblait a une personne de petite taille venant vers son village. Les derniers rayons du soleil, bien qu’a l’agonie, trahissait un corps luisant. Probablement… une armure ! Grommbrindal lâcha son outil et couru aussi vite qu’il ne l’avait jamais fait vers l’individu vraisemblablement son frère. Il courrait plus vite que n’importe qu’elle sprinteur de Bloodbowl ne le puisse, jeu très reconnu et admiré dans l’Empire, et pourtant pas assez vite à son gout…
Enfin arrivé, il fini par lui sauter dans les bras tant il était content de le retrouver, mais, mais… mais les choses n’était pas ce qu’il aurait pu le penser : c’était bien son frère, a cela pas de doute, ni pour l’un ni pour l’autre, les larmes que versait était bien celle d’un nain heureux de retrouver son frère, mais celle de Barltok n’aurait pas du être la, contrairement a son sourire qui aurait du, lui, l’être. Aveuglé par ca joie, il n’avait pas vu l’évidence : son frère n’avait pas le sourire… Grommbrindal perdit bien vite le sien et se mis a regarder avec plus d’attention son frère. C’est ainsi qu’il constat que son armure n’était plus que l’ombre d’elle-même, les blessures de sur corps était perceptible en tout point sur lui, tant bien même que Grommbrindal ne peu pas dire où Barltok n’avait pas était blessé un moment donné. Les cicatrices de son corps ressemblaient à des griffures de tout point. Qu’avait-il pu affronter ? Des squigs ? Des hommes-rats, ou bien pires encore ? Et c’est en regardant les mains de son frère, ou plutôt ce qu’elle tenait, qu’il comprit : l’arme de son père n’avait rien à faire dans les mains de Barltok, tant bien même c’était son fils. Grommbrindal, perdit son souffle, avant de sentir ses jambes lui faire défaut. Il tomba, tremblant, réalisant encore choqué, de ce qu’il apprenait. Son frère l’épaula, et les ramena, lui et ce qu’il restait de son père, à leur foyer.
La BUGMAN XXX avait un gout amer : elle ne rafraichissait pas autant qu’elle l’aurait dû. Tous étaient effondrés de cette nouvelle, particulièrement Cellin, qui se refusait de croire à cet événement, qui pourtant était vrai. Barltok prit le temps expliqué du mieux qu’il le pouvait, la main crispé sur sa chope :
« Nous étions parti au Col de Grumni effectué un tournant décisif à la bataille. Nous avions eu vent des futurs agissements et déplacement des peaux verte, et nous leurs avons préparé une embuscade. Tout c’était déroulé pour le mieux nous avions des tireurs posé au deux coté du col, et nous avions bien encombré leurs déplacement dans le col, avec des barrières, des pièges en tout genre. Nous n’avions pas vraiment le choix : si cette armées de peaux verte passait l’empire serait envahi, et les pertes civils, comme militaire serait colossale… Lorsque nous nous apprêtions a les recevoir, un de nos éclaireurs revenait au loin a la dextre de notre régiment. Nous avions eu de lourde pertes ses derniers temps, et nos généraux avaient pour la plus part rendu l’âme. Il accouru vers notre plus haut gradé encore en vie, dernier capitaine de nos forces. Il lui annonça qu’il avait repéré un groupe essayant de contourné nos positions : l’armée ennemis se scindé en deux. C’était une bonne nouvelle et une très mauvaise en même temps : La bonne nouvelle, c’est que cela voudrait dire que nous serions amène de les massacrer dans le gouffre dans trop de problème. La mauvaise, était que la seconde partie des peaux verte se déplaçait en terrain plutôt découvert, et que même si nous y affections les deux tiers de notre armée, nous y perdrions certainement une majeurs partie de nos troupes nous laissant sans défense pour la suite, et en difficulté pour protéger le Col de Grumni…
Apres réflexion, qui dû par la force des choses être assez rapide, nous avons donc conclu qu’un groupe devrait faire diversion, pour les retenir et éviter a tout prit que l’ennemis envisage de nous prendre a revers. Lorsque le Col serait dégagé, nous irions secourir nos frères. Leurs objectif primaire était de les retenir, mais si possible aussi, de lentement les rapproché du gouffre, pour eux aussi leurs tendre un piège, sur un terrain à notre avantage. Un groupe de brise-fer fut détaché, avec un Lieutenant, et son sous-lieutenant, à son commandement.
Lorsque l’ennemi arriva, dans la fin d’après midi, la bataille du Col de Grumni fut engagée, elle fut bien plus longue que nous l’avions envisagé. Leur chef hurlait des ordres et nous ne pouvions l’atteindre sans prendre d’énorme risque. Il y avait beaucoup d’orcs à comparer au nombre de gobelin, et leur chef enlisait le combat. Nos frères devait se faire massacrer fasse a l’autre groupe de peaux verte… Et nous ne pouvions rien faire, au risque de perdre le gouffre. Deux bonnes heures plus tard, nous commencions à prendre le dessus, mais notre lenteur eux raison de nos frères : bientôt nous aperçûmes le seconde groupe venir nous prendre a flanc. J’en averti père qui en averti le Capitaine. Les ordres nous parvint dans la minute : nous devions rompre le combat de tranchée pour aller en mêlée ouverte afin d’éviter de devoir rediriger les tireurs sur une position moins couverte et dégagé... Père ordonna a un régiment de brise-fer, un détachement de longue barbe et à un petit groupe de tueur de le suivre au pas de course. Nos heures de gloire étaient arrivé, mais a quel prix… »
Barltok s’arrêta un moment, vida d’un trait sa chope et s’en servit une autre avant de poursuivre, les yeux rouges et coulant de larmes incontrôlées. « Nous avons ainsi manœuvré sur le flanc, nous n’étions pas retranché sur les faibles défenses que déjà les gobelins nous chargeaient, et nous n’étions pas nombreux face a eux... En quelque secondes ils étaient sur nous. Les affrontements avec les gobelins sont très violents, tant la haine mutuelle que nous partageons nous brule ; la charge nous compressa, mais presque aucun des nôtres n’est tombé sous les coups mal-habites de ces sous êtres, ce qui n’était pas le cas des leurs, et bien trois de leurs rangs furent rogné dés leurs charges. Dans ce carnage, silencieux et brulant en même temps, Père et moi-même, nous ne sommes pas restés bien longtemps en rang, et nous nous sommes rapidement enfoncés dans leurs rangs. Nous avons perdu Grogrim de vue durant la charge, mais nous n’avions pas le temps de penser à autre chose qu’a éviter ces peaux vertes et leurs vils couteaux mal aiguisé. Nous faisions un massacre a nous deux, dos à dos, cote à cote, à nous protéger mutuellement. Père de ses grands mouvements de hache arrachait des têtes en grand nombre. Ses mains luisait d’une lumière blanchâtre et il invoquait une prière a Kragnir, lui priant de porter toujours sur ses ennemis ; a un certain moment ses mains luisaient tellement qu’elle en effrayé les gobelins qui s’en prenaient à nous, ce qui en faisaient des proies encore plus facile… entre mon arquebuse a répétition naine, modifié par mes soins, et ma hache confectionné par un des meilleurs prêtres des runes nous avons pu croisé durant nous croisade, je n’étais pas sans travail : j’empalais de ma baïonnette, transperçant gobs sur gobs, de ma hache je tenais en respects, et chaque tentative non mesuré leurs coutaient la vie. Mais ce massacre ne dura pas éternellement : peu après avoir tué mon centièmes gobs, les orcs chargèrent a leurs tours, et père du faire appelle a toute sa puissance magique qu’il avait accumulé contre cette racaille verte pour repousser l’assaut sur nous. Les rangs, qui s’étaient épuisé sur les gobelins, cédèrent facilement, et les orcs pénétrèrent sur bien deux bonne lignes naines, massacrant les deux premières rangées sans remord avant de se faire repousser, sans défaut, par les longues barbes, qui refusait de leurs céder le moindre pousse de terrain. C’est à ce moment la que Grogrim bondie du mont de gobelin accumulé, sautant de pleine vitesse sur les orcs prés de nous, tranchant le cou de l’un d’eux en l’air, et d’un revers après avoir touché le sol, ouvrit les boyaux de deux autres. Le Trio enfin réuni, nous pûmes enfin reprendre nos aises et notre carnage fut renouvelé de puissance. Grogrim tranchait a grand revers, hurlant de rage et de plaisir en même temps, tant il était plongé dans l’extase des combats et en devenait souvent effrayant… Même pour nous… Cela dit il était très efficace, sûr dans ses gestes, rapides et ne ratant que très rarement ses coups. Père faiblissait doucement : les sorts qu’invoques les prêtres peuvent les déséquilibrer, tant cela nécessite de concentration et d’énergie. Au milieu de cette cohue, Père attrapa une fiole qu’il se pressa d’avaler, et me cria qu’il était temps d’en finir.
En quelque seconde Père se retrouva entre Grogrim et moi. Il se concentré, et reprenant ses forces pour assimiler totalement la potion de puissance qu’il venait d’ingurgiter. Il reposa sa hache, manche vers le haut, se mit à psalmodier une prière. C’est d’ailleurs a ce moment la que j’entrepris de vider mon chargeur. Au moment de notre reformation éclair, j’ai saisi ma seconde arquebuse dans mon dos, et planta le tranchant de ma hache au sol, devant moi. Mes balles fuselées transperçaient deux à trois orcs à pleine puissance avant d’exploser sur la derniers cible, lui laissant des éclats de métal sur, et sous, la peau. Nous tenions en respect les orcs à deux, tel un phare au milieu de la mer en plein tempête, inébranlable. Mes arquebuses dégelaient des balles sans arrêts, si bien que les orcs devaient maintenant escalader leurs frères pour essayer de nous atteindre. Nous n’avions pas de nouvelle du col depuis un moment, qui nous paru une éternité, et nos dernière forces n’effondraient. Et puis mes chargeurs tirèrent respectivement leurs dernières balles, ce qui allait bientôt rendre notre combat bien plus difficile. J’ai tranchais la gorge de la baïonnettes de mes deux arquebuses, l’envoya volé d’un coups de pied décidé, et en un tour sur moi-même, j’ai saisi ma hache, la chargeant de toutes la vitesse que j’étais capable de lui donner, pour trancher, d’un coups d’un seul, les six torses qui se présentais devant moi, criant de surcroit plus fort que toutes ces brutes. Cette actes nos donna un moment de répit, juste le répit qu’il fallait a père pour accomplir les derniers paroles de son sortilège.
Une vague d’énergie souffla d’abord longuement vers nous, puis d’un coup se libéra et happa tout les orcs autours de nous, d’une violence inimaginable, les repoussants de plusieurs mètres, sur une bonne vingtaine de rangs. Pas un seul d’entre eux ne s’en releva. La puissance du sortilège fut tel, qu’il fit fuir un grand nombre des orcs qui avait assisté au spectacle de prés. C’est un peu flou dans ma tête, mais c’est à peu prés à ce moment que les survivants du col de Grumni vinrent nous prêter main forte. Père regarda au tour de lui, admirant son travail, et remerciant tout les dieux de lui avoir prêté leurs pouvoirs, tomba d’épuisement au sol, respirant difficilement des grandes bouffées d’air. »

«A cette instant précis j’ai su que je ne saurais rester spectateur de cette guerre qui m’avais prit mon père. Jamais plus la haine ne quitterait mon cœur, jamais plus je ne laisserais quiconque souiller ma famille sans subir mon courroux et jamais, plus que tout, je ne laisserais l’histoire de la terre de mes ancêtres ce faire souiller par ces sous êtres dénué de du sens de devoir, du respect et de l’honneur. A cette instant précis, je me suis levé, j’ai saisi l’arme de mon père est j’ai décrété solennellement en ces termes : « De part le sang et le devoir qui m’incombe de protéger l’honneur de ma famille, je déclare et réclame rancune en vers les toutes les races qui on bafoué l’honneur de ma famille, et réclame réparation par le sang. Je porterais ma vengeance à terme à travers l’arme qu’a détenu mon père, et déclare que rien ne m’empêchera, sinon la mort, à laver cette rancune. Je m’en irais dés l’aube officialiser cette rancune en vers les ennemis de ma famille à Forgerune, pour l’inscrire dans le grand registre. »
Et je partis »



IV
« Pendant que les survivants du col de Grumni se battaient pour leurs terres, nous étions autour de père, qui été très mal en point. Toute cette énergie mystique avait comme puisé en lui ; c’est un miracle qu’il est survécu… Enfin presque : ses blessures physiques lui faisait perdre beaucoup de sang, beaucoup trop. Il nous a regardé, et à simplement dit que son œuvre été accomplie, qu’il part dans l’honneur. C’est la qu’il m’a donné son arme ; il voulait que tu l’es, alors tu l’as. »
Dravevesti
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Message  Gyggs Sam 24 Juil - 0:49

Tiens, un/une fan de Warhammer Very Happy

Je suis justement en train de lire un livre de la black library sur ces cours pattes ^^'
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Gyggs

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Message  Dravevesti Sam 24 Juil - 1:07

le quel?

Le livre des rancunes? ou la serie Gothrek et Felix?
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Message  Gyggs Sam 24 Juil - 9:28

Livre des rancunes, j'ai déjà lu tout les felix et Gotrek ! Smile
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Gyggs

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Message  Dravevesti Sam 24 Juil - 18:15

je suis pas fan de la facon dont est ecrit livre des rancunes. mais love felix et got:p
Dravevesti
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